Question: Bêtisier assurance????

Le témoin est venu témoigner comme quoi il n’avait rien vu et rien entendu.

En vous remerciant par avance, je reste dans la tente de votre chèque de règlement.

En regagnant mon domicile, je me suis trompé de maison et je suis entrée dans un arbre qui ne m’appartenait pas.

J’ai signé le constat mais ça ne compte pas. J’avais pas mes lunettes et j’ai rien vu de ce qui était dessus.

Je viens, par la présente, vous déclarer un accident qui, pour être banal, n’en est pas moins inhabituel.

A la suite d’une querelle, une de mes chambreurs s’est fait arracher un sein (elle avait omis de nous dire qu’elle portait une prothèse).

Il y a déjà un mois que j’ai embouti trois voitures à l’arrêt et je n’ai encore rien touché. Est-ce normal?

Revenant de l’enterrement de ma pauvre femme, je roulais allègrement…

Monsieur le Directeur, dans ma déclaration d’accident que je vous ai adressée, j’ai oublié de vous dire qu’il y avait un mort.

J’ai pris contact avec votre répondeur et celui-ci m’a aimablement conseillé de vous écrire.

J’ai un bris de pare-brise, mais je connais le coupable: le garagiste l’a fracturé lorsqu’il a enlevé toutes les vitres de mon auto pour la repeindre.

Mon assurance incendie couvre mon mobilier pour une somme illimitée, mais je m’aperçois que la cotisation est également sans limite.

J’ai malheureusement rencontré un trottoir avec ma voiture neuve.

En décembre, j’avais cassé mon pare-brise et vous aviez gelé mon bonus; je viens d’avoir un autre accident à la fin d’août: est-ce que le gel marche aussi pendant l’été?

J’ai bien compris que je devais vous déclarer le sinistre dans les cinq jours, mais était-ce cinq jours avant ou cinq jours après?

Etant donné que je n’ai subi aucun dommage, ils vont encore en profiter pour ne rien me payer.

La dame était plein fards. Forcément, ça m’a ébloui et j’ai perdu le contrôle.

La prime, c’est moi qui la paie et vous remboursez les dégâts de l’autre. Tout ça, c’est des fumisteries.

6 commentaires

  1. Beaucoup de très bonnes.

    Par contre pour chipoter, celle là je la trouve correcte :
    « Je viens, par la présente, vous déclarer un accident qui, pour être banal, n’en est pas moins inhabituel. »

  2. Un vrai plaisir !!!!! Ptdr. Merci Ludo

    Juan et le douanier

    Juan arrive du Mexique à la frontière séparant le Mexique des États-Unis en bicyclette. Il a un gros sac sur ses épaules.
    Le douanier l’arrête et lui demande: « Qu’est-ce que tu as dans ton sac? » Juan répond: « Du sable. »
    Le douanier incrédule lui dit: « On va voir ça… Descends du vélo. »
    Le douanier ouvre alors le sac et répand le sable qu’il contient sur le sol. Il fouille dedans sans rien y trouver.
    -« C’est bon. » lui dit-il.
    Juan ramasse le sable du mieux qu’il peut et repart sur sa bicyclette.
    Une semaine plus tard, la même chose se produit. Le douanier demande à Juan: « Qu’est-ce que tu as dans ton sac cette fois? »
    Juan répond: « Du sable. »
    Le douanier qui n’est toujours pas convaincu décide de détenir Juan pour la nuit et d’envoyer un échantillon du sable pour analyse.
    Le lendemain, les résultats révèlent qu’il s’agit bien de sable. Il laisse donc Juan repartir sur son vélo. Le petit manège se poursuit chaque deux ou trois jours pendant les quelques années qui suivent.
    Chaque fois, le douanier fouille le sac de sable. Il envoie régulièrement des échantillons pour analyses de toutes sortes mais toujours sans rien trouver d’autre que du sable.
    Finalement, quelques années plus tard, Juan arrête de traverser la frontière en bicyclette avec son sac de sable.
    Un beau jour, lorsqu’il est à sa retraite, le douanier est en vacances au Mexique et rencontre Juan dans un petit bar sur la plage.
    – Hé, je te reconnais, toi! Tu n’est pas le gars qui traversait la frontière en bicyclette avec un sac de sable?
    Juan reconnaît le douanier et lui répond:
    « Oui, c’est moi. »
    – Qu’est-ce que tu deviens? lui demande le douanier.
    – Je me suis acheté ce petit bar et je vis tranquillement, répond Juan.
    Le douanier se décide finalement à lui demander:
    « Écoute, je suis à la retraite et je n’ai plus aucun pouvoir. Je voudrais bien savoir une chose. Je n’ai jamais arrêté de penser à ça depuis que je t’ai vu la première fois. Juste entre toi et moi, tu faisais de la contrebande… »
    Juan esquisse un petit sourire et répond :
    « Oui, et c’est comme ça que je me suis acheté ce bar. »
    Le douanier s’approche un peu et demande à voix plus basse:
    « Et qu’est-ce que tu passais frauduleusement aux douanes? »
    Juan répond: « Des bicyclettes! »

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