Essai Audi A5 Cabriolet 2009

Audi A5 Cabriolet 2.0 TDI 170 Ambiente L’arrivée de l’A5 Cabriolet, dans la gamme Audi, met fin à la carrière de l’A4 découvrable! Cette déclinaison cheveux aux vents emprunte bon nombre d’éléments au coupé A5. Extérieurement donc, rien ne change, hormis la présence d’une capote en toile. L’A5 cabriolet se découvre en quinze secondes et ce jusqu’à 50 km/h. Le cockpit est une copie conforme de celui de l’A5. On y retrouve une planche de bord aux matériaux de qualité et à la finition exemplaire. Côté équipement, pas de surprise dans cette auto de standing. Elle reçoit clim, phares et essuie-glace automatiques. Le radar de recul, également fourni de série, n’est pas de trop, au vu du gabarit de l’auto. Enfin, comble du chic: le limiteur d’effort pour la ceinture! L’A5 cabriolet s’offre un panel de six motorisations. Notre version d’essai s’équipe du plus petit diesel, le 2.0 TDI de 170 ch avec filtre à particules. Le bloc, couplé au système « Stop and Start », limite la consommation à 5,7 litres en cycle mixte et les émissions de CO2 à 148 grammes. On échappe donc au malus. Sécurisante et agréable On regrette toutefois un confort de suspension un peu ferme. Dans l’Audi A5 Cabriolet, on ne voyage qu’à quatre! L’espace arrière se montre accueillant pour les deux passagers, dommage toutefois que les dossiers soient si droits et que l’on ne dispose pas d’accoudoir central. Capote en place, l’isolation est bonne. Une capote acoustique est en option à 360 euros. En plus d’isoler à