En faisant un peu de recherche sur l’immigration en France, que j’ai comme sujet pour un exposé on voit bien qu’il y a 2 type d’immigration en France.
1ERE IMMIGRATION avant 1960:
Principalement économique, l’immigration suit la période après guerre mondiale, dans les années 1930, les immigrés viennent alors d’Europe, Italie, Portugal, Belgique, Polonais….. ceux ci sont logés dans des cités dortoirs ce que l’on appellerai aujourd’hui banlieue. Ils sont logés dans des appartements avec eau chaude, chauffage…..un vrai petit luxe pour un prolétaire. Ils occupent des emplois « sales » c’est a dire des emploi assez dur a faire: éboueurs, minier, travail a la chaine.
La 2EME IMMIGRATION: apres 60
La décolonisation commencé, on voit alors les immigrés de la première génération quitter ces cités dortoirs pour laisser la place a de nouveaux arrivants. Les logements sont rénovés et ils profitent des mêmes privilèges que les premiers plus quelques bonus. A l’eau chaude et le chauffage vient s’ajouter le gaz, les ascenseurs … Ceux ci vont alors également remplacer les premiers immigrés dans les emplois « sales », les premiers s’étend élever socialement.
LES DIFFÉRENCES.
Jusque ici tout est similaire, c’est maintenant que l’on va voir les différences.
– La ou les premiers immigrés chérissaient leur nouveaux logements, les seconds s’en fichent royalement, ils prennent même un malin plaisir a tout dégrader. On voit aujourd’hui l’état de certaines cités …..
Les premiers avaient laissés les cités dortoirs dans un état tel que les nouveaux pouvaient les utilisaient des leur arrivée ( après quelques travaux du type, installation des ascenseurs bien sur ). Aujourd’hui un ascenseur est réparé il est cassé la semaine suivante.
-La ou les espagnols, italiens, et polonais, se mélangeait sans problème avec les autres communautés, les nouveaux se replient sur eux même, ils pratiquent l’auto-apartheid en qualifiant leur lieu de vie « cités » et en ne laissant personne d’autre de la cité de rentrer.
– Les premiers immigrés PAR ESPRIT D’INTÉGRATION commencèrent des la deuxième génération a nommé leurs enfants par des prénoms français, aujourd’hui même a la 3 ème génération 95% des seconds choisissent mohamed, nadia, fathia, mustafa pour nommé leur enfants.
– Les premiers ne demandait pas de restrictions alimentaires, les italiens ne réclamaient pas de pâtes a la cantine pour leur marmots, les espagnols ne demandait pas de paella……. aujourd’hui dans certaines cantines on supprime des repas avec de la viande jusqu’à l’instauration du halal.
– Les premiers ne sifflaient pas la Marseillaise et ne criez pas « nike la france » au contraire, ils chantaient l’hymne national.
Les jeunes avaient d’autre occupation que le squat de hall d’entrée et la vente de produits illicites. C’est a dire, il y avait beaucoup moins de délinquance dans les cités.
Il n’y avait pas d’épisodes comme celui de Gauffrane ( lapidation ) ou des crimes d’honneur ( le petit qui s’est fait tuer récemment par une balle perdue ) du a ce qu’un espagnol épousait un polonais.
CONCLUSION.
Je vous laisse faire la conclusion en citant les 2 typesd’immigration , n’hésitait pas a compléter si vous désirez
le problème de l’ immigration actuelle c’ est que 91 % refusent de s’ intégrer préférant profiter des subsides de l’ Etat pour faire carrière dans la délinquance ou criminalité ….
c est ton testament là?
Tu as oublié les machines à laver que les occupants jettent par les fenêtres
si ton professeur est un homme sensé et qui voit ce qui se passe sans se mettre des oeillères tu peux avoir une note honnête
si ton professeur est un gauchiste bobo tu es mort
je fais partie de la première immigration et je suis entièrement d’accord avec toi
Euhhhh… Je ne sais pas si les immigrés faisaient les sales boulots et vivaient dans des cités dortoirs.
Maiiiiiiis… Mon père, français de chez français, faisait un boulot de merde (Et il en est mort à 45 ans!) dans une fonderie chez Berliet et nous vivions dans une cité dortoir, et pas une des meilleures à l’époque (Les Minguettes à Vénissieux!)…
Est-ce à dire que les immigrés doivent avoir les meilleures places et les meilleurs logements pendant les français d’origine se tapent la « merde »???
Il faut cerner le problème. Dans le cadre de notre « immigration massive » que j’appelle « immigration de peuplement », 5% seulement des immigrés entrent avec le motif du travail. C’est une statistique I.N.S.E.E.
Le rapport très officiel du Ministère de l’Emploi, par la Direction de la population et des migrations, intitulé « immigration et présence étrangère en France en 2004 », affirme en page 3 : « La très faible part de l’immigration pour motif de travail retient l’attention. Elle va d’ailleurs en s’amenuisant, passant de 7,5% en 1999, à 5,0% en 2004 ».
L’immigration massive, qu’on le veuille ou non, creuse les déficits de l’état puisque son coût se chiffre en dizaines de milliards d’euros (36 milliards d’euros par an selon Yves-Marie Laulan, président de l’Institut de géopolitique des populations, dans Le figaro du 18.11.2005 ; 56 milliards d’euros par an selon l’estimation de Pierre Milloz dans son deuxième rapport « L’immigration sans haine ni mépris »).
Par conséquent, il faut en finir avec le « mythe » de l’immigré que nous avons fait venir ou que nous faisons venir pour le travail. Ceci était vrai jusqu’en 1974. Mais depuis l’immigration dite « de travail » est devenue immigration de « peuplement ». Il faut en effet distinguer deux phénomènes :
– Le premier a consisté de la part du patronat à faire venir une main d’oeuvre « bon marché » pour peser sur les salaires. Ceci a fonctionné tant que le flux d’immigrés était maîtrisé et que les conditions économiques, sociales et structurelles étaient favorables.
– Le second, avec le « regroupement familial », était au départ pensé pour financer les retraites et vu d’un oeil bienveillant par les soixante-huitards en manque de multi-culturalisme. (Les valeurs familiales ayant été tuées par les idées libertaires, feministes et carrieristes issues de 68, il a fallu compenser le manque de naissance). Mais, loin d’avoir les effets escomptés et miné par le contexte économique, tant Français que mondial, agrémenté d’une mentalité et d’une culture peu compatibles avec les notres, il a conduit à un besoin accru de « social ».
Ces couteux besoins ce sont transformés en cercle vicieux qui a consisté à écraser les entreprises de charges et à imposer lourdement le travailleur. Ces entreprises se sont encore plus tournées vers des étrangers aux salaires plus bas. Ces derniers arrivent, mais avec leurs familles qu’il faut entretenir aux frais de l’état. L’état a donc besoin d’argent qu’il prend aux entreprises et aux travailleurs, en creusant en prime un peu plus la dette publique.
Nous n’avons plus les moyens de leur offrir du travail qui fait déjà défaut aux Français, ni des logements qui sont devenus extrêmement onéreux et manquent en nombre. Cela suffit et celà n’a rien à voir avec le racisme ; la France, ni aucun pays au monde n’a la possibilité d’accueillir, loger, nourrir, soigner, éduquer un nombre toujours plus important et continuel d’immigrés, aussi gentils, pauvres et sympathiques soient-ils. C’est une utopie et ça nous conduit dans le mur.
Il faut réaliser, que nous avons souvent à faire à des personnes qui ne veulent pas et ne voudront pas s’intégrer. Ils sont attirés ici uniquement par des avantages sociaux et économiques. Ils viennent pour vivre ici, comme « au bled ». N’entendent faire AUCUN effort et qui par contre entendent « EXIGER » papiers, soins, scolarité, logement… Entendent faire accepter les piscines non mixtes, les salles de prière dans les hopitaux, les gynécologues femmes, les cantines « sans porc », les mosquées etc etc etc.
Il ne faut pas, être dupe sur le but avoué de longue date, de cette immigration. Houari Boumedienne ancien président algérien dans un discours à l’ONU en 1974 a été suffisamment clair : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire ».
Ou encore le Recteur de la mosquée de Lille, 2005 : « Même si nous quittons ce pays, même s’ils nous expulsent, une chose est sure, la graine a pris dans la terre. La terre de France est un terreau fertile et Amar Lasfar encourage les fidèles à planter d’autres semences.
Excellente analyse , il ne te reste plus qu à l’envoyer au parti socialiste et ses cons frères ils vont crier au scandale pour atteinte à leur futur électorat , tu vas avoir aussi la plupart de la magistrature sur le dos de toucher à leur gagne……. si ce n’était que seulement du pain .
tu as oublié de dire que les enfants de la 2em immigration n’ont jamais travaillés, d’ailleurs c’est pas dans leur culture ni dans leur mentalité. Comment se débarrasser de ces mohamed, nadia, fathia, mustafa, c’est simple, supprimer la nationalité française rétro-activement et leur attribuer celle des parents, et les expulser. Qu’ils aillent se confronter à la réalité de leurs origines.
Fini ton exposé!!!!!!
CONCLUSION ABSENTE: NOTE 4/20
Sincèrement vous êtes barjo, si non vous êtes un ignorant de l’histoire car vous falsifiez l’histoire comme les juifs et autres ont falsifié la bible
..C a y est t’as fini ? Excellent, je te colle un ZERO pour ta richesse culturelle, tu nous a enthousiasmé banal.
Moi je dirai juste que si tu comptes faire ton exposé d’après ces sources, tu vas vers un zéro pointé…