Depuis le 1er janvier 2015, résilier son assurance devient plus facile. En effet, la loi sur la consommation dite « loi Hamon » prévoit un assouplissement des règles qui régissent la procédure de résiliation d’un contrat d’assurance.
Résilier quand on veut
Avant le 1er janvier 2015, les contrats d’assurance étaient, le plus souvent, renouvelés chaque année de façon tacite. L’assuré pouvait résilier son assurance seulement dans les deux mois précédents la date anniversaire de son contrat et les 20 jours suivants la réception de son avis d’échéance (loi Chatel).
Avec la loi Hamon, l’assuré qui souscrit un contrat d’assurance après le 1er janvier 2015, peut désormais résilier son contrat d’assurance à tout moment, sans frais ni pénalités, une fois passée la première année d’adhésion. En ce qui concerne les contrats souscrits avant le 1er janvier 2015, il faudra attendre la prochaine date d’échéance avant de pouvoir bénéficier de la faculté de résiliation à tout moment.
Procédure de résiliation
Pour résilier, l’assuré devra notifier sa volonté de mettre fin à son contrat à son assureur. Il peut également demander à son nouvel assureur d’agir en son nom. La résiliation prendra alors effet 30 jours après la réception de la demande.
L’assuré ne paye alors que la partie de sa cotisation d’assurance qui le couvre jusqu’à ce que la résiliation prenne effet. L’assureur devra rembourser le solde de la prime versé par l’assuré dans un délai de 30 jours.
Quels contrats sont concernés ?
Tous les contrats ne sont pas concernés par la loi Hamon. La réforme vise les contrats d’assurance auto, deux roues et d’assurance multirisque habitation. Elle touche également les assurances dites affinitaires, comme par exemple l’assurance de matériel informatique, qui constitue le complément d’un bien ou d’un service.
Cas particulier
En cas de résiliation d’un contrat d’assurance obligatoire (responsabilité civile auto ou responsabilité locative), les formalités liées à la résiliation doivent être accomplies par le nouvel assureur qui devra s’assurer que le client reste bien couvert pendant toute la durée de la procédure de résiliation.
Faciliter la résiliation pour plus de concurrence
L’objectif de cette mesure est de permettre à l’assuré de faire jouer la concurrence entre les compagnies d’assurance et ainsi faire baisser les prix.
Le groupe Google poursuit sa volonté d’étendre son activité dans des secteurs divers en proposant notamment un service de comparaison et de vente en ligne d’assurances auto aux Etats-Unis. Il est d’ores et déjà autorisé à vendre les produits de six assureurs dans 26 Etats.
Google Compare Auto Insurance
Google Compare Auto Insurance est le nom du nouveau service d’assurances auto lancé par Google aux Etats-Unis. Ce comparateur permettrait non seulement de comparer les différents tarifs des assureurs mais également de vendre des contrats d’assurance, via le site.
En effet, le groupe a déjà obtenu des licences pour vendre de l’assurance dans 26 états pour le compte de 6 assureurs. Le comparateur fonctionne via des commissions sur les transactions avec les partenaires.
Actuellement en phase de test, ce service peut notamment compter sur l’expertise de différents acteurs de l’assurance dont MetLife, Mercury, Permanent General Assurance ou encore Viking Insurance of Wisconsin.
Google collaborait également avec le comparateur Comparenow.com, une entité de l’assureur automobile britannique Admiral Group PLC. Ce site est en relation avec 31 compagnies d’assurance et opère dans 48 Etats.
Une expérience européenne peu concluante
En 2013, le plus célèbre des moteurs de recherche avait lancé en France un service équivalent de comparaison d’assurances automobile. Cette expérience s’est révélée être un échec et la firme a été obligée de retirer son offre du web, trois mois seulement après sa mise en service. A l’époque, Google avait précisé que la suspension de sa plateforme de comparaison constituait une décision stratégique, l’idée étant de se focaliser sur les pays anglo-saxons.
En effet, le groupe a déjà un pied au Royaume-Uni depuis septembre 2012 avec son rachat du site de comparaison, BeatthatQuote.com, spécialisé dans les produits financiers et d’assurance. Toutefois, Google ne détiendrait que 2 % du marché de l’assurance auto dans le pays.
Avec l’assurance en ligne, Google fait une incursion de plus dans un secteur d’activité dont le web révolutionne le modèle économique. Désormais, il reste à voir si Google parviendra à attirer et satisfaire les consommateurs américains. La firme n’a pas convaincu les Européens, mais cela pourrait changer, surtout si elle s’y investit massivement.
Vous venez d’acquérir et votre permis et votre première voiture ? Vous voulez avoir des tarifs assurances intéressants ? Vous ne vous retrouvez dans le dédale d’assurances et de services proposé ? Ceci s’adresse à vous, voici quelques conseils pratiques afin de vous orientez et vous conseiller sur les bonnes démarches à suivre, suivez le guide…
Se méfier des offres trop intéressantes : il y a peut être un « piège »
Il y a un vaste éventail d’options ainsi que de formules proposées selon les assureurs. Bien sur, il faut passer au peigne fin toutes les offres proposées par ceux-ci afin de trouver la meilleure offre qui soit. Il est donc profitable à ‘intéressé de faire jouer, ici encore la concurrence. Mais prudence, les offres commerciales proposes pourraient sembler être très intéressantes et peuvent pourtant cacher anguille sous roche. La prudence est de mise car ce genre de réduction cache peut être des tarifs peu avantageux. Il faut donc éviter de tomber dans le piège.
Pour un jeune, les souscriptions en ligne peuvent être la bonne chose à faire si l’assurance des parents est trop chère
Souscrire en ligne peut être bénéfique et comporter de bons cotés. En effet, pour un jeune conducteur, bien que le meilleur choix qui soit est la fidélité l’assurance des parents surtout si le jeune conducteur est déclaré « conducteur secondaire » (il pourra avoir des garanties optimums et aura un bonus de la part de l’assurance), si l’assurance des parents est trop chère, il vaut mieux souscrire en ligne. Souscrire une assurance en ligne permet, en effet, de mieux comparer les offres intéressantes et ainsi dénicher les « perles rares », des économies conséquentes peuvent être ainsi faites grâce à ce geste simple et pratique.
Bien sur, ces conseils ne sont là que pour vous orienter vers la bonne attitude à adopter pour être assuré convenablement, et ne sont là qu’à titre indicatifs. Pour avoir plus de précision l’avis d’un spécialiste peut s’avérer utile, à vous de jouer
Les offres et les formules d’assurances automobiles sont diverses. Le choix est multiple. Dans ce dédale d’offres différentes, trouver les contrats proposant des offres avantageuses, moins chères n’est pas facile. Vous voulez trouver les meilleures offres ? Vous vous demandez comment procéder pour les dénicher ? Voici quelques précisions sur ce point, suivez le guide !
Comparer les offres, remplacer une offre trop désavantageuse et trouver une offre adaptée selon vos critères
Ce mode opératoire sera désormais possible lors de la mise en place de la Loi Hamon sur la résiliation des contrats d’assurances qui devrait rentrer en vigueur d’ici 2015. En effet, les contrats d’assurances couvrent une durée de 12 mois, soit un an et sont automatiquement renouvelés à chaque fois que l’année est passée. L’assuré peut aussi résilier le contrat d’assurance avant terme par une lettre recommandée deux mois avant la date d’échéance, au plus tard.
Quand vous aurez fini de la résilier vous pourrez enfin chercher un autre contrat. La première chose à faire est de comparer les offres, grâce aux simulateurs ou des comparateurs, disponibles l’un comme l’autre, en ligne.
Scruter les clauses des contrats d’assurances et les montants des franchises
Un contrat d’assurance peut aussi comporter des clauses. Les passer au crible est toujours une bonne chose. Bien sur, vérifier le montant des cotisations est assez normal mais il faut aussi bien analyser les conditions d’assurances et surtout le montant des franchises. La franchise est la somme à votre charge en cas d’accident où vous êtes responsable mais aussi pour des dommages sans tiers.
Certaines offres de compagnies d’assurances pourront vous sembler être alléchantes, mais il faut faire attention. Les tarifs de ces compagnies, même basses, les montants des franchises pourraient être éventuellement faramineuses.
Vous avez maintenant les cartes en main avant de vous lancer dans la quête du graal du contrat d’assurance automobile idéal. Les conseils les plus élémentaires restent : bien s’informer et bien lire le contrat, voire relire le contrat plusieurs fois avant de le souscrire. Alors, la balle est dans votre camp !
La voiture électrique sur le point de remplacer la voiture classique dans la vie de tous les jours .Serait ce notre avenir du moins, celle de l’industrie automobile dans un futur proche ? Les voitures roulant grâce a l’énergie alternative, voilà un ambitieux pari relevé par les diverses enseignes présentes au Mondial de l’Automobile. Aucun stand, n’a fait exception, la voiture roulant totalement grâce à l’électricité a fait sensation. Ces voitures vont, sans surprises, remplacer peu à peu les voitures roulant au carburant classique, prochainement, voire très prochainement, puisqu’elles vont sillonner bientôt les rues de Paris, et vont surement faire partie intégrante du paysage parisien. Mais que faut-il savoir si l’on veut l’adopter ?
Ce qu’il faut savoir avant d’adopter une voiture électrique
Outre les raisons écologiques qui pourraient pousser à l’utilisation d’une voiture électrique dans la vie de tous les jours (cout du carburant, pollution…), elle a ses avantages comme ses inconvénients.
Ses inconvénients :
Il faut savoir que, sans surprises, une voiture électrique est bien plus couteuse qu’un véhicule classique en terme de prix d‘achat. Il est nécessaire de bien définir l’utilisation du véhicule. Prendre en compte comment l’utiliser avant de l’acheter. Est ce que l’utilisation du véhicule amortira son cout élevé. Il est à noter que la voiture électrique a des limites notamment en matière d’autonomie, et il lui faut des lieux spécifiques pour pouvoir la charger à l’électricité.
Ses avantages :
Si la voiture électrique présente quelques inconvénients, elle peut être aussi avantageuse pour ses utilisateurs.
Déjà par la facilité de son entretien, elle n’est pas couteuse à entretenir puisque les dépenses qu’elle génère sont bien moins importantes que pour un véhicule classique qui marche au bon vieux carburant (autour de 20% moins cher).
Ensuite, dans sa rentabilité financière. Effectivement, la voiture électrique est rentable puisque ceux qui l’auront adopté bénéficieront d’une prime de l’ordre de 7000 euros environs, dument octroyé par l’état.
Vous avez toutes les cartes en main si vous êtes intéressés par ce genre de véhicule. Ce qui est sur c’est que, d’ici 2017 ,1000 taxis électriques de Paris vont bientôt débarquer ! La fée électricité ne cessera jamais de nous surprendre ….
Le grand public attend non sans impatience l’application effective de la loi Hamon sur la résiliation des contrats d’assurances autos ou des contrats habitations. Il ne sera plus nécessaire d’attendre longtemps pour annuler le contrat d’assurance en cours et d’en souscrire un autre.Résilier des contrats à tout moment, au bout d’un an d’engagement sera possible. Comment ça marche, concrètement ? Voici le nouveau mode d’emploi de la loi Hamon sur la résiliation des contrats d’assurances automobiles et habitations.
Il n’est pas nécessaire d’envoyer un recommandé
L’envoi d’un recommandé avec accusé de réception n’est pas nécessaire pour remplacer son assureur .C’était pourtant le souhait des assureurs. Le projet de décret assurant que l’envoi d’une simple lettre ou d’un courriel est suffisant pour résilier un contrat, au grand dam des assureurs. Toutefois Un relevé d’information doit être exigé par le client à son ancien assureur dans un délai ne dépassant pas 2 semaines, pour être transmit à son nouvel assureur.
Il faut attendre la fin de l’ancien contrat pour que le nouveau démarre
Cette mesure s’avère nécessaire après la résiliation de l’ancien contrat pour éviter tous quiproquos sur la période de couverture. En effet, pour qu’il n’y ait pas superposition entre les périodes de validité de l’ancien avec le nouveau contrat d’assurance, il est obligatoire d’attendre l’échéance de l’ancien contrat est préférable pour commencer le nouveau.
Grace à la loi Hamon sur la résiliation à tout moment du contrat d’assurance, la compétition devrait être rude entre les assureurs pour attirer la nouvelle clientèle et fidéliser l’ancienne clientèle. Outre mesure, pour la clientèle, ce serai un moyen de faire plus d’économie, crise oblige, et s’assurer d’un contrat d’assurance avantageux et à moindre cout. Il est à noter que tout le monde attend avec impatience la publication de ce décret qui ne devrait pas tarder. En attendant, il faudra attendre encore un peu… La patience n’est elle pas la reine des vertus ?
Lorsque vous êtes au volant, vous n’êtes jamais loin d’un incident voire même un accident de la route. Sachez que même au moindre petit incident, déclaré trop souvent, vous êtes sus le risque de recevoir un Bonus de la part de votre Compagnie d’assurance. Explications.
Pas d’accident déclaré ? Vous recevrez de bons points de la part de votre assureur
Effectivement, avec le système de Bonus et de malus, l’assureur peut vous accorder un bonus de 5% si vous n’avez déclaré aucun accident responsable en un an. Ce qui veut dire que votre tarif de basse va se voir baisser de 5%.
Dans le cas contraire, si vous avez déclaré un accident ou des petits incidents fréquents à votre assureur, vous vous faites pénaliser par un malus, de la part de ce dernier. Majoré de 25%, votre tarif est très salé. Le malus peut être évité si la personne assurée n’est pas à l’origine de l’accident, c’est-à-dire que si la faute a été commise par une autre personne, un autre conducteur.
Pourquoi les assurances vous pénalisent elles par des malus ?
Le malus signifie que le cout de l’assurance qui est réparti en indemnisation et, ou en réparation est augmenté. Ce qui peut se traduire par une facture élevée pour l’assuré. Les réparations étant souvent très onéreuses. Attention, vous pouvez avoir un malus si vous êtes responsable de l’accident !
Le système de bonus malus mis en place par les assurances est aussi un bn myen pour pousser les individus à être vigilants sur la route. Effectivement, de peur d(un malus , ceux-ci sont incités à conduire plus prudemment, ce qui rend le système bonus malus plus efficace là ou les campagnes de sensibilisations ont faillis. La peur d’un malus peut sauver la vie des gens ? Toutefois, on ne le vous dira jamais assez, soyez prudents sur la route, aussi bien pour votre bien et celui de vos comptes.
En cas d’accident de la route causé par un conducteur de voiture de sa société ou de son entreprise, il est souvent difficile de prédéfinir la part de responsabilité de l’employé conducteur ou de l’entreprise.
Tous les véhicules doivent obligatoirement être assurés, mais quelle est la responsabilité des contrats d’assurances dans le cas d’un véhicule de service, par exemple ? Y a-t-il des contrats plus avantageux pour les entreprises et leurs véhicules par rapport à d’autres, en cas d’accident de la route ?
Contrats d’assurances : l’embarras du choix
La prise en charge de l’assurance est dépendante tout simplement du statu du véhicule et de son utilisation . 2 cas de figures peuvent se produire :
– si le véhicule est un véhicule de service, c’est-à-dire mis à disposition par l’entreprise elle-même pour les employés, en cas d’accident, et le contrat d’assurance de l’entreprise, et celui de l’employé prendront en charge la couverture de l’assurance.
– si le véhicule est un véhicule particulier de l’employeur et qu’il l’utilise ponctuellement pour son travail, l’employé à plus de chance de se voir « handicapé » en cas d’accidents si son entreprise n’a pas pris un contrat particulier pour le véhicule en cas d’accident.
En cas d’accidents de la route : Pas de solution miracle
Les entreprises, employeurs et employés compris qui auront déjà souscrits des contrats d’assurances jugés peu avantageux, pourront toujours les résilier. La loi Hamon qui a été voté en 2014, même si controversée, permettra aux assurés de résilier leur contrats à tout moment, les compagnies d’assurances se sont pliés en quatre pour cela.
Il n’y a pas de super contrat d’assurance plus ou moins avantageux pour les entreprises en cas d’accident de la route causé ou sur leurs véhicules. Il faut tout simplement analyser avec soin les contrats d’assurances pour prévenir les mauvaises surprises. Bref, la meilleure solution reste la prudence dans la conduite. La vigilance sur le volant pour tout le monde est toujours de mise !
Le Fonds de garantie aux assurances obligatoires (FGAO) vient de publier son rapport. Si le nombre de dossiers traités représente une fausse accalmie avec 27 164 dossiers traités en 2013, soit 1 713 de moins qu’en 2012. En effet, c’est la première fois en 5 ans que le nombre de cas traités par l’organisme a enregistré une baisse, qui était toujours en hausse depuis 2009.
Le nombre des non-assurés:
Avec aucune méthodologie ni moyen fiables mis en place pour le moment, il est très difficile de déterminer leur nombre exact. Toutefois, la FGAO avancerait que 370 000 à 740 000 véhicules circuleraient dans toute la France sans assurance. Pour pallier à cette situation et afin de disposer d’une meilleure base de données sur leur nombre, la FGAO propose la solution suivante.
Il faudrait centraliser dans un répertoire unique les immatriculations des véhicules et les contrats d’assurance qui permettrait alors de recenser toutes les véhicules qui sont en situation de non-assurance. La mise en place de cette base de données permettrait aussi d’aviser les propriétaires de ces véhicules non-assurés afin qu’ils puissent prendre les mesures qui s’imposent pour régler leur situation ou dans le cas contraire, de les sanctionner.
Le cas d’accident.
La mise en place de cette base de données permettrait aussi d’aviser les propriétaires de ces véhicules non-assurés afin qu’ils puissent prendre les mesures qui s’imposent pour régler leur situation ou dans le cas contraire, de les sanctionner.
En effet, toujours selon la FGAO, 87,6 millions d’Euros ont été déboursés pour indemniser les victimes d’accidents corporels par les véhicules non assurés. Indemnisation qui impliquerait même les véhicules assurés car 2% de ces fonds ont été prélevés de la caisse des contrats d’assurance sur les responsabilités civile automobile.
Le profil des non-assurés.
Lors de ce dernier rapport, le profil type du conducteur non assuré est plus précis. Il s’agit surtout de jeunes conducteurs. 59% ont moins de 35 ans et 27% n’ont même pas 25 ans. Parmi eux, il y a ceux qui continuent de rouler suite à une suspension ou résiliation de contrat.
Le non-paiement représente 45% des cas et il y aurait 34% de nullité de contrat suite à des fausses déclarations sur le statut de conducteur principal / secondaire ainsi que la non-déclaration de ses antécédents, entre autre un précédent retrait de permis ou les condamnations antérieures issues des conduites en état d’ivresse.
Le célèbre footballeur Portugais , Cristiano Ronaldo , évoluant au Real du Madrid qui est connu pour sa superbe collection de bolides dépenserait par an la coquète somme de 100.000 Euros en assurance auto.
Est-ce que cela fait suite à sa mésaventure de 2009 lorsqu’il évoluait encore dans la Premier Ligue avec les couleurs de la Manchester United pour que Ronaldo ait décidé de payer le prix fort pour quelque part « mettre ses petits joujoux à l’abri ». Pour rappel, le CR7 a froissé la tôle d’une superbe sportive italienne dans un tunnel en 2009. Aie, Aie, Aie…
100.000 Euros est sans conteste une somme importante, mais avec un revenu moyen de 17 millions d’Euros comme footballeur et presque autant pour les recettes des contrats publicitaires, on peut dire que c’est presque de la petite monnaie pour le CR7.
En plus, avec une collection impressionnante composée d’une Bugatti Veyron qui à elle seule coûte la bagatelle de 1,7 million de dollars, et oui. Mais ce n’est pas tout, il y a encore une Lamborghini Aventador, une Bentley GT Speed, une Rolls Royce Phantom mais aussi plusieurs Ferrari et au total une vingtaine de bolides dont la valeur globale est estimée à plus de cinq millions de dollars. C’est où qu’on paie ?