Parfois, nous nous posons la question de savoir pourquoi devons-nous verser de l’argent de façon annuelleà une maison d’assurance alors quenous faisons preuve de prudence à chaque fois que nous sommes au volant de notre voiture.
Et ben, justement, tant que vous prenez la route à bord de votre véhicule, un accident peut survenir à n’importe quel moment et engager votre responsabilité voire vous coûter des milliers d’euros. C’est pour cette raison et bien d’autres encore, que vous vous devezd’assurervotre véhicule.
En France, la loi du 27 février 1958 en ses articles 1382 et 1384 du code civil crée un impératif légal qui contraint toute personne physique ou morale à assurer son véhicule terrestre de 2,3,4 roues à moteur même si celui-ci ne roule pas. Cette assurance, pour qu’elle soit valide, doit couvrir l’ensemble des dommages que vous pourriez causer au volant. C’est ce qu’on appelle la garantie minimale.
De même, sachez que les articles L324-2 du code de la route prévoient une punition pour toute personne n’ayant pas assuré son auto. La punition varie entre une amende de 3750 €, une suspension du permis de conduire jusqu’à 5 ans et une immobilisation et/ou une confiscation du véhicule.
En sortant donc de chez vous, pour circuler en toute quiétude, vous devez avoir sur vous votre attestation d’assurance et l’exhiber aux forces de l’ordre en cas d’un contrôle de la route inattendu. Aussi, devriez-vous veiller à ce que la vignette apposée sur le pare-brise de votre auto soit toujours à jour.
Oui, c’est effectivement le cas. Contrairement à ce que beaucoup pensent, assurer son auto, c’est vraiment se rendre un grand service. Comment ? Un accident n’arrive pas qu’aux autres et n’avertit point d’ailleurs.
Peu importe votre maîtrise de conduite et la rigueur dont vous faites preuve à l’égard des codes de la route, il n’en demeure pas moins que vous n’êtes pas à l’abris d’un accident. Vous pouvez à tout moment vous rendre coupable ou être la victime d’un accident de la circulation d’où l’importance de souscrire à une assurance auto.
En assurant son auto, on se met à l’abri d’éventuelles dépenses liées à un accident. En effet, si vous vous rendez responsable d’un accident de la route, c’est votre assureur qui se chargera d’indemniser totalement ou partiellement (cela dépend du type d’assurance pour lequel vous avez optez) tous les dommages subis par les malheureuses victimes. Vous épargnez, par ce fait, votre maigre épargne et vous évitez par la même occasion tout bouleversement de vos finances.
Cela semble invraisemblable mais c’est la vérité. De plus en plus, les maisons d’assurance proposent un type de contrat qui va dans le sens de la bonne conduite et du respect du code de la route. En souscrivant à ce type d’assurance (le Pay how youdrive), vous prenez la responsabilité d’être prudent pour bénéficier chez votre compagnie d’assurance des baisses de vos primes allant jusqu’à 50. Cela vous contraint à respecter les limitations de vitesse, à revoir vos comportements de freinage, bref, à faire très attention quand vous êtes au volant.
Et donc, même si le risque zéro n’existe pas, en étant un automobiliste exemplaire, vous économisez de l’argent et contribuez de cette manière à la baisse des cas d’accident.
Aussitôt que vous achetez votre auto, vous devez avoir un contrat d’assurance propre à votre véhicule. Cela sous-entend que la souscription à une assurance est systématique et non négociable à l’achat du véhicule.
Autre détail important, la souscription à une assurance par un conducteur et pour son véhicule ne couvre pas le nouveau propriétaire en cas de rachat du même véhicule. Il est donc clair que chaque véhicule doit avoir un contrat d’assurance qui lui est propre et qui le lie à son propriétaire.
Les accidents de circulation peuvent arriver à n’importe quel moment. C’est pour prendre des précautions vis-à-vis de ce genre de situation qu’il est indispensable que vous assuriez votre véhicule.
Cependant, les aspects entourant le principe de l’assurance peuvent être assez flous au point où vous ne sachiez pas quels sont vos droits. D’où l’intérêt de savoir ce que gère votre assurance en cas d’accident.
Plusieurs questions peuvent vous venir à l’esprit à la suite d’un accident. Vous pourriez vouloir savoir qui paiera les dommages occasionnés sur ou par votre voiture, ou encore qui sera à la charge des frais médicaux en cas de blessures.
Vous pourriez également vous demander qui s’occupera des dommages causés aux autres victimes. Autant d’interrogations qui trouvent très vite leurs réponses quand vous êtes assurés. Mais que couvre exactement votre assurance ?
À cette question, il n’y a pas de réponse toute faite, puisque les conditions peuvent être différentes les unes des autres. Votre indemnisation va dépendre de la responsabilité qui vous est incombée lors de l’accident ainsi que les différentes garanties qui sont mentionnées dans votre contrat d’assurance.
L’assurance RC auto est le minimum légal obligatoire pour votre véhicule. Sans celle-ci, votre voiture ne serait pas autorisée à circuler sur une route publique. Son rôle est de couvrir vos responsabilités civiles.
Cela implique qu’elle se charge de payer les dommages et intérêts que vous avez engendrés sur d’autres personnes en cas d’accident. Il peut s’agir des dégâts matériels, corporels ou moraux.
Cependant, l’assurance de responsabilité civile auto ne prend pas en charge vos propres blessures. Vous pourriez éventuellement bénéficier d’une aide de votre assurance conducteur. Cette dernière se chargera de rembourser les frais médicaux occasionnés par votre prise en charge et vous versera une pension journalière pour couvrir votre perte de revenus dans le cas où l’accident vous empêche de travailler.
Toutefois, il existe des cas exceptionnels comme celui où l’accident se produit à l’étranger. Si cela vous arrive, c’est votre contrat d’assistance qui se chargera de vous apporter un soutien financier et logistique.
Ce qui rend l’assurance en omnium très intéressante, c’est le fait que son offre est plus complète et elle permet de couvrir de nombreuses autres charges en cas d’accident. Son incidence directe se remarque sur son coût qui est nettement plus élevé que celui de l’indemnisation des responsabilités civiles.
Cependant, vous serez indemnisé en totalité sur tous les dommages matériels qu’a subis votre véhicule. Les frais relatifs aux spécificités supplémentaires comme le remorquage ou l’immobilisation de votre véhicule peuvent également faire partie des charges couvertes par l’assurance en omnium.
Toutefois, ces dernières doivent absolument figurer dans les conditions générales de votre contrat pour que vous puissiez en bénéficier. Il va donc falloir que vous procédiez à la vérification des garanties offertes par votre contrat d’assurance en omnium ainsi que le niveau de remboursement. On distingue plusieurs cas.
Après la présentation d’une facture en bonne et due forme, la société d’assurance va prendre en charge les différents frais de réparation. Il est possible qu’elle déduise préalablement d’éventuelles franchises. N’oubliez pas que la franchise en question pourrait être négociée à la baisse ou annulée si vous faites recours aux services d’un garage agréé.
Nous parlerons de perte totale lorsque le véhicule est trop abîmé pour être réparé ou lorsque les frais de réparation sont plus élevés que la différence entre sa valeur réelle avant l’accident et la valeur de ce qu’il en reste. En cas de perte totale de l’engin, les dédommagements que vous recevrez seront à la hauteur de la valeur assurée de votre véhicule. Selon les conditions de votre contrat, vous pourrez être indemnisé en valeur réelle, agréée ou revalorisée.
D’une manière globale, le défaut d’assurance signifie que vous n’êtes couvert par aucune assurance auto. Ceci peut être dû à un manque de moyen financier pour le renouvellement de l’assurance ou à un refus des compagnies d’assurance de vous couvrir. Quelle que soit la raison, cette pratique ne demeure pas sans représailles pour les conducteurs qui s’y livrent.
L’article L211-1 du code des assurances stipule que la souscription d’une assurance auto est une obligation pour tout propriétaire de véhicule terrestre à moteur. En effet, l’assurance représente un moyen qui vous permet de prendre en charge votre responsabilité en cas de préjudices causés au tiers. C’est exactement pour cette raison que la garantie au tiers est le minimum légal qu’il faut détenir en matière d’assurance auto. Cependant, cela ne signifie pas qu’il ne faut pas cumuler d’autres garanties si cela vous est nécessaire.
Le défaut d’assurance automobile constitue l’une des plus graves infractions derrière les crimes routiers et la contravention. Il est lourdement sanctionné. En effet, l’article L324-2 du Code de la route interdit la mise en circulation de véhicule non assuré sous peine d’une amende de 3750 euros. Cette sanction peut être suivie de poursuites judiciaires. En fonction des circonstances et de la récidivité, l’amende peut être suivi du retrait du véhicule ainsi que d’une suspension de permis.
D’autres représailles peuvent s’y joindre selon les circonstances, comme : des travaux d’intérêt général par exemple, ou une interdiction de conduite durant un certaine période. Il est également possible de disposer d’une assurance valide mais d’oublier de l’apposer à la vignette verte sur le pare-brise du véhicule. Ceci est considéré également comme une infraction et peut conduire à une amende de 35 euros.
En fonction de sa situation et la durée pendant laquelle il conduit sans assurance, le conducteur peut être soumis à des peines complémentaires établies par la loi. Au nombre de ces sanctions, nous pouvons énumérer : les travaux d’intérêt général, l’annulation du permis de conduire avec interdiction de solliciter la délivrance d’un nouveau permis pendant 3 ans ou plus, obligation d’accomplir un stage de sensibilisation à la sécurité routière, interdiction de conduire certains véhicules pendant une durée de 5 ans ou plus, une confiscation et/ou immobilisation du véhicule s’il en est le propriétaire.
Conduire sans assurance auto peut avoir une influence négative sur la vie financière d’un conducteur fautif. Lorsque le conducteur non assuré ou dont l’assurance n’est plus valide se trouve être responsable d’un accident de la route, il devra payer lui-même les indemnités aux victimes diverses. Ces indemnités peuvent parfois s’élever à des sommes très élevées et peuvent atteindre plusieurs milliers d’euros, afin de prendre en compte tous les dommages quels soient matériels ou corporels.
Une récente réglementation vient faciliter les modalités de contrôle et de détection des véhicules non-assurés par les forces de l’ordre.
Il a été désormais mis à la disposition des gendarmes et des policiers, un accès au Fichier des véhicules assurés (FVA), répertoriant tous les véhicules assurés, y compris leur numéro de contrat et leur temps de validité. Il leur est donc possible lors d’un contrôle ou à la simple lecture de la plaque d’immatriculation, de vérifier directement si le véhicule figure bien dans le fichier et si le contrat d’assurance est toujours en cours de validité, et ce sans avoir à demander son certificat d’assurance au conducteur. Cette nouvelle disposition vient renforcer la surveillance du contrôle d’assurance des autos.
Il n’est pas toujours évident de trouver la compagnie d’assurance qui puisse satisfaire toutes nos attentes en fonction de nos budgets. C’est pour cette raison qu’il est conseillé de toujours se référer au comparateur d’assurance qui a testé les services des différents prestataires du marché avant de jeter son dévolu sur l’un d’entre eux. Mais quels sont les critères à considérer pour bien évaluer son assurance auto ?
Selon le type devéhicule à assurer, lecomparateur d’assurance pouvant répondre le mieux à vos attentes peut varier. Pour trouver le meilleur de tous, vous aurez besoin de comparer le niveau d’affiliation des assurances auto.
Le comparateur qui dispose de plus d’affiliation avec les assureurs est sans aucun doute le meilleur. Il vous permettra decomparer les prix dans un ensemble plus représentatif. Ainsi, vous aurez beaucoup plus de facilité à trouver en quelquesinstants l’assurance la moins chère pour votre voiture.
Pour réaliser une bonne analyse des données d’assureur selon le type de véhicule que vous souhaitez faire assurer, vous devez vous tourner vers un comparateur capable d’analyser les tarifications sur le prix du véhicule, sa puissance, les régions à parcourir et le mode de stationnement. Si vous êtes propriétaire d’une nouvelle voiture, alors les comparateurs qui proposent une évaluation des prix d’assurance tous risquessont incontestablement ceux qui vous conviendront le mieux.
Le niveau de protection d’un véhicule est très important dans le choix de votre assureur. Il vous permet d’évaluer dans quelle mesure l’assureur pourra vous aider en cas de pépins. Pour choisir le meilleur comparateur sur ce paramètre, vous devez passer en revue les comparateurs qui évaluent toutes les garanties présentées par les assureurs.
Il faut aussi que vousvous assuriez que le comparateur choisi vous donne bien des informations sur les possibilités de recours en justice en cas de sinistre contesté par l’assureur.Pour l’analyse d’un plus grand nombre de paramètres pour le type d’assurance recherché, les comparateurs disposant de groupe de type d’assurance vous feront gagner un précieux temps.
C’est le facteur le plus important sur lequel on peut obtenir la meilleure évaluation d’un comparateur. Tout comme nous l’avions déjà souligné plus tôt, pour choisir votre comparateur, vous devez vous assurer qu’il dispose d’une bonne base de données pour vous donner les meilleures analyses. Sa durée d’existence peut être également un facteur important dans votre choixcar, plus un comparateur est ancien plus il a de chance de vous fournir les meilleurs services.
Certains comparateurs vous permettent de faire une évaluation de l’économie maximale que vous pouvez faire en contractant un type d’assurance donné. Les moins performants se contentent de vous donner les prix des différentes catégories de services choisis dans votre région.
L’analyse de performance des assureurs auto n’est pas basée uniquement sur les chiffres, mais aussi sur le niveau de satisfaction des clients. Les comparateurs disposant de panel de recueil d’avis client sont les plus performants sur ce plan. Les meilleurs comparateurs sont ceux qui disposent d’une plateforme structurée pour faciliter l’entrée des données de recherche d’assureur. Si vous trouvez un comparateur avec un compteur d’audience sur sa plateforme, cela montre son sérieux. Il est probablement assez taillé pour vous offrir les meilleurs services.
Le choix d’un comparateur d’assureur auto est assez difficile et doit tenir compte du type d’assurance que vous cherchez à contracter. Vous pouvez choisir de les trier selon leur ancienneté, leur audience, l’étendue de leur base de données et la facilité d’accès à leur plateforme.
À seulement quelques mois précédant son lancement, le nouveau Scénic obtient offre de reprise très intéressante : argus + 4 000 €. Ce qui est très surprenant, car suite à sa relance avec la Clio 4 en 2012, le Losange se vend rarement dans ses publicités. Certes, il était toujours envisageable de jouir de quelques ristournes via une négociation avec les vendeurs, mais cela ne va jamais plus loin du moins pas au point d’attirer du monde dans les concessions, qui est la meilleure manière de préserver la valeur d’une voiture. Au lieu de cela, comme le font beaucoup d’autres, Renault décline l’offre et choisit de mettre en avant les options de location et opte pour les petits loyers mensuels.
User des portes ouvertes pour charmer les clients
Pour le Scénic, c’est loin d’être très évident surtout que le modèle est encore très novice et d’ailleurs, ce n’est pas forcément nécessaire de brader un véhicule qui est fraîchement sorti. En effet, le Scénic 4 court est n’est sorti de l’atelier qu’en septembre 2016 et le Scénic 4 long l’a rejoint que début 2017. Renault explique que le lancement de la promotion n’a rien d’inhabituel. Il affirme même que le procédé était la même pour la Mégane, à la différence près que la première offre pour la compacte se présente sous forme d’une opération de location Easy Pack caractérisée par quatre ans de garantie et d’entretien. Renault avoue que c’est un excellent moyen d’attirer du monde dans les concessions lors des portes ouvertes. Les amateurs de kit l’associent avec des jantes alliages disponibles chez Eurojante. Même si aves des jantes Alu, c’est déjà une magnifique voiture.
Les risques avec les sous-traitants
Les monospaces traditionnels se perdent dans l’ombre des baroudeurs ; d’ailleurs, plusieurs marques ont clairement fait Pour Renault, abandonner le Scénic n’est même pas une option, car c’est le pilier de sa gamme. En revanche, cette entreprise de construction automobile injectée continuellement une dose de cross-over dans sa recette et propose parallèlement avec son SUV le Kadjar depuis 2015. Même s’il faut attendre la fin de l’année pour effectuer un bilan, la marque du losange est confiante sur ses chiffres de ventes même si quelques problèmes d’approvisionnement de la part d’un sous-traitant ont causé un problème lors du démarrage. Une fois la situation résolue, les ventes montent en flèche, mois par mois surtout entre le mois de mai et le mois d’avril. Pour le mois de juin, Renault prévoit encore un envol d’immatriculation. De janvier à mai, Scénic a immatriculé 18 000 modèles ce qui le place en tête du segment en France.
Qu’un accident survienne ou pas, la conduite en état d’ivresse ou sous l’emprise de stupéfiants est un délit. Alors, que fait l’assureur en cas d’accident ? La loi le décharge logiquement de toute obligation d’indemnisation.
Quel est donc l’impact de ce type de délit sur le contrat d’assurances ? Et qu’en est-il de la prise en charge des tiers qui sont victimes de l’accident ?
Seul au monde, le conducteur sera entre les mains de son assureur. Ce dernier a carte blanche (ou presque) quant à la suite des événements.
L’assureur peut d’abord résilier le contrat, en observant un préavis de 1 mois. Dans la pratique, le recours à la résiliation dépend parfois (mais pas toujours) du coefficient bonus-malus de l’assuré.
Dans une certaine mesure, avec un tarif fortement majoré (malus), l’assuré a donc sans doute connu pas mal de sinistre. Et un accident en état d’ivresse ou sous l’emprise de stupéfiants, c’est un sinistre de trop que l’assureur pourrait juger insoutenable.
Sinon, l’assureur peut aussi majorer la cotisation à 400 % en cas d’infractions multiples (refus d’obtempérer, délit de fuite…). Mais on parle bien là d’infractions pénales. Seule une décision de justice peut attester de leur existence réelle.
De plus, au nom de la présomption d’innocence, cette majoration ne saurait être décidée par l’assureur qu’avec une décision de justice devenue définitive. Sinon, en l’absence d’autres infractions, la majoration ne peut aller au-delà de 150 %.
On ne peut pas énumérer tous les détails des conséquences d’un tel délit sur l’assurance auto. Tout ce qu’on développe ici est surtout une esquisse à de plus amples informations que vous trouverez en suivant ce lien :
https://www.axa.fr/assurance-auto.html
La garantie responsabilité civile bénéficie toujours aux tiers, quelles que soient les circonstances. Mais en cas de conduite en état d’ivresse ou sous l’emprise de stupéfiants, l’assuré ne sera pas défendu par son assureur devant les tribunaux en cas de litiges.
Notons au passage que même les passagers ivres ou sous l’emprise de stupéfiants sont indemnisés, la garantie responsabilité civile n’excluant que le conducteur.
Les garanties facultatives qu’aurait souscrites l’assuré ne lient pas l’assureur pour le sinistre. Les frais de réparation de la voiture ne sont pas remboursés ; pas d’indemnisation non plus pour les blessures et une éventuelle infirmité liée à l’accident…
En revanche, les dommages corporels et matériels subis par les tiers sont indemnisés par l’assureur. Celui-ci peut intenter une action récursoire en justice contre son assuré.
Le groupe Google poursuit sa volonté d’étendre son activité dans des secteurs divers en proposant notamment un service de comparaison et de vente en ligne d’assurances auto aux Etats-Unis. Il est d’ores et déjà autorisé à vendre les produits de six assureurs dans 26 Etats.
Google Compare Auto Insurance
Google Compare Auto Insurance est le nom du nouveau service d’assurances auto lancé par Google aux Etats-Unis. Ce comparateur permettrait non seulement de comparer les différents tarifs des assureurs mais également de vendre des contrats d’assurance, via le site.
En effet, le groupe a déjà obtenu des licences pour vendre de l’assurance dans 26 états pour le compte de 6 assureurs. Le comparateur fonctionne via des commissions sur les transactions avec les partenaires.
Actuellement en phase de test, ce service peut notamment compter sur l’expertise de différents acteurs de l’assurance dont MetLife, Mercury, Permanent General Assurance ou encore Viking Insurance of Wisconsin.
Google collaborait également avec le comparateur Comparenow.com, une entité de l’assureur automobile britannique Admiral Group PLC. Ce site est en relation avec 31 compagnies d’assurance et opère dans 48 Etats.
Une expérience européenne peu concluante
En 2013, le plus célèbre des moteurs de recherche avait lancé en France un service équivalent de comparaison d’assurances automobile. Cette expérience s’est révélée être un échec et la firme a été obligée de retirer son offre du web, trois mois seulement après sa mise en service. A l’époque, Google avait précisé que la suspension de sa plateforme de comparaison constituait une décision stratégique, l’idée étant de se focaliser sur les pays anglo-saxons.
En effet, le groupe a déjà un pied au Royaume-Uni depuis septembre 2012 avec son rachat du site de comparaison, BeatthatQuote.com, spécialisé dans les produits financiers et d’assurance. Toutefois, Google ne détiendrait que 2 % du marché de l’assurance auto dans le pays.
Avec l’assurance en ligne, Google fait une incursion de plus dans un secteur d’activité dont le web révolutionne le modèle économique. Désormais, il reste à voir si Google parviendra à attirer et satisfaire les consommateurs américains. La firme n’a pas convaincu les Européens, mais cela pourrait changer, surtout si elle s’y investit massivement.
La voiture électrique sur le point de remplacer la voiture classique dans la vie de tous les jours .Serait ce notre avenir du moins, celle de l’industrie automobile dans un futur proche ? Les voitures roulant grâce a l’énergie alternative, voilà un ambitieux pari relevé par les diverses enseignes présentes au Mondial de l’Automobile. Aucun stand, n’a fait exception, la voiture roulant totalement grâce à l’électricité a fait sensation. Ces voitures vont, sans surprises, remplacer peu à peu les voitures roulant au carburant classique, prochainement, voire très prochainement, puisqu’elles vont sillonner bientôt les rues de Paris, et vont surement faire partie intégrante du paysage parisien. Mais que faut-il savoir si l’on veut l’adopter ?
Ce qu’il faut savoir avant d’adopter une voiture électrique
Outre les raisons écologiques qui pourraient pousser à l’utilisation d’une voiture électrique dans la vie de tous les jours (cout du carburant, pollution…), elle a ses avantages comme ses inconvénients.
Ses inconvénients :
Il faut savoir que, sans surprises, une voiture électrique est bien plus couteuse qu’un véhicule classique en terme de prix d‘achat. Il est nécessaire de bien définir l’utilisation du véhicule. Prendre en compte comment l’utiliser avant de l’acheter. Est ce que l’utilisation du véhicule amortira son cout élevé. Il est à noter que la voiture électrique a des limites notamment en matière d’autonomie, et il lui faut des lieux spécifiques pour pouvoir la charger à l’électricité.
Ses avantages :
Si la voiture électrique présente quelques inconvénients, elle peut être aussi avantageuse pour ses utilisateurs.
Déjà par la facilité de son entretien, elle n’est pas couteuse à entretenir puisque les dépenses qu’elle génère sont bien moins importantes que pour un véhicule classique qui marche au bon vieux carburant (autour de 20% moins cher).
Ensuite, dans sa rentabilité financière. Effectivement, la voiture électrique est rentable puisque ceux qui l’auront adopté bénéficieront d’une prime de l’ordre de 7000 euros environs, dument octroyé par l’état.
Vous avez toutes les cartes en main si vous êtes intéressés par ce genre de véhicule. Ce qui est sur c’est que, d’ici 2017 ,1000 taxis électriques de Paris vont bientôt débarquer ! La fée électricité ne cessera jamais de nous surprendre ….
Le grand public attend non sans impatience l’application effective de la loi Hamon sur la résiliation des contrats d’assurances autos ou des contrats habitations. Il ne sera plus nécessaire d’attendre longtemps pour annuler le contrat d’assurance en cours et d’en souscrire un autre.Résilier des contrats à tout moment, au bout d’un an d’engagement sera possible. Comment ça marche, concrètement ? Voici le nouveau mode d’emploi de la loi Hamon sur la résiliation des contrats d’assurances automobiles et habitations.
Il n’est pas nécessaire d’envoyer un recommandé
L’envoi d’un recommandé avec accusé de réception n’est pas nécessaire pour remplacer son assureur .C’était pourtant le souhait des assureurs. Le projet de décret assurant que l’envoi d’une simple lettre ou d’un courriel est suffisant pour résilier un contrat, au grand dam des assureurs. Toutefois Un relevé d’information doit être exigé par le client à son ancien assureur dans un délai ne dépassant pas 2 semaines, pour être transmit à son nouvel assureur.
Il faut attendre la fin de l’ancien contrat pour que le nouveau démarre
Cette mesure s’avère nécessaire après la résiliation de l’ancien contrat pour éviter tous quiproquos sur la période de couverture. En effet, pour qu’il n’y ait pas superposition entre les périodes de validité de l’ancien avec le nouveau contrat d’assurance, il est obligatoire d’attendre l’échéance de l’ancien contrat est préférable pour commencer le nouveau.
Grace à la loi Hamon sur la résiliation à tout moment du contrat d’assurance, la compétition devrait être rude entre les assureurs pour attirer la nouvelle clientèle et fidéliser l’ancienne clientèle. Outre mesure, pour la clientèle, ce serai un moyen de faire plus d’économie, crise oblige, et s’assurer d’un contrat d’assurance avantageux et à moindre cout. Il est à noter que tout le monde attend avec impatience la publication de ce décret qui ne devrait pas tarder. En attendant, il faudra attendre encore un peu… La patience n’est elle pas la reine des vertus ?
En cas d’accident de la route causé par un conducteur de voiture de sa société ou de son entreprise, il est souvent difficile de prédéfinir la part de responsabilité de l’employé conducteur ou de l’entreprise.
Tous les véhicules doivent obligatoirement être assurés, mais quelle est la responsabilité des contrats d’assurances dans le cas d’un véhicule de service, par exemple ? Y a-t-il des contrats plus avantageux pour les entreprises et leurs véhicules par rapport à d’autres, en cas d’accident de la route ?
Contrats d’assurances : l’embarras du choix
La prise en charge de l’assurance est dépendante tout simplement du statu du véhicule et de son utilisation . 2 cas de figures peuvent se produire :
– si le véhicule est un véhicule de service, c’est-à-dire mis à disposition par l’entreprise elle-même pour les employés, en cas d’accident, et le contrat d’assurance de l’entreprise, et celui de l’employé prendront en charge la couverture de l’assurance.
– si le véhicule est un véhicule particulier de l’employeur et qu’il l’utilise ponctuellement pour son travail, l’employé à plus de chance de se voir « handicapé » en cas d’accidents si son entreprise n’a pas pris un contrat particulier pour le véhicule en cas d’accident.
En cas d’accidents de la route : Pas de solution miracle
Les entreprises, employeurs et employés compris qui auront déjà souscrits des contrats d’assurances jugés peu avantageux, pourront toujours les résilier. La loi Hamon qui a été voté en 2014, même si controversée, permettra aux assurés de résilier leur contrats à tout moment, les compagnies d’assurances se sont pliés en quatre pour cela.
Il n’y a pas de super contrat d’assurance plus ou moins avantageux pour les entreprises en cas d’accident de la route causé ou sur leurs véhicules. Il faut tout simplement analyser avec soin les contrats d’assurances pour prévenir les mauvaises surprises. Bref, la meilleure solution reste la prudence dans la conduite. La vigilance sur le volant pour tout le monde est toujours de mise !